Wem gehört die Stadt - Bewertung der Verkehrsträger im Urbanen Raum

摘要

Lors de la seconde moitié du siècle dernier, la voiture comme référence ne s'est pas seulement imposée dans l'aménagement des espaces urbains, mais aussi comme une unité des besoins en surface: l'unité-voiture. Cette évolution s'est accompagnée du recul - également accepté par la société - de la mobilité douce et des transports publics. Mais elle ne reposait pas sur des raisons scientifiquement établies. Dans la présente étude, on a clairement donné la priorité au calcul quantitatif, sur la base de l'optimisation de l'utilisation de l'espace pondérée dans le temps - quel mode de transport utilise l'espace public de la manière la plus efficace? - et on l'a complétée par d'autres indicateurs importants pour la planification, notamment la disponibilité du réseau, qui n'est pas identique pour tous les modes de transport, la sécurité du trafic, la consommation énergétique, les atteintes à l'environnement et les possibilités de mobilité pour tous (Mobility for All). Les résultats font état d'une prééminence évidente du trafic piétonnier et cycliste, pour les déplacements de proximité, ainsi que des transports publics par rapport au trafic automobile, sur toutes les routes où ce mode de transport est exploité. Le thème «À qui appartient la ville?» est aussi au programme du séminaire D-A-CH qui se déroulera en octobre à Salzburg.%Die Gestaltung des städtischen Raumes erfolgte weitgehend formalen, dem Autoverkehr angepassten Prinzipien. Technische, soziale, ökologische und wirtschaftliche quantitative und qualitative Indikatoren, in dem Beitrag zusammengestellt, zeigen, dass die Prioritäten in der Gestaltung städtischer Strassen neu geordnet werden müssen. Die wissenschaftlichen Grundlagen decken sich mit den guten Praxisbeispielen zukunftsorientierter Stadtraumgestaltung. Das Thema «Wem gehört die Stadt» steht übrigens auch im Oktober an der D-A-CH-Tagung in Salzburg auf dem Programm.