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【24h】

Les communautés pastorales traditionnelles en quete de paturages verts par l'exploitation forestière participative: étude sur le District de Kiteto, Tanzanie

机译:传统田园社区参与伐木探索绿色劳动者:坦桑尼亚的Kiteto区学习

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摘要

Cette étude décrit comment le village forestier de Suleclo a été créé il y a huit ans, et les lecons que l'on peut tirer de son exploitation en cours, le tout géré par la population locale pour son propre bénéfice, avec de grands succès etsans entrainer de couts. La foret de Suleclo, formée de neuf réserves forestières de villages dans le District de Kiteto, (région d'Arusha), en Tanzanie, est exploitée par la communauté et de facon rentable et peu couteuse depuis 1994. La forêt est vaste et riche en bois d'espèces miombo, qui a fourni pendant des siècles de verts paturages pour les populations indigènes Masaai sans aucune menace pour la foret. En 1994, les agents forestiers du gouvernement, venant d'Arusha, ont tracé des lignes de démarcation dans la foret, imposant ainsi une réserve forestière du gouvernement central. Du jour au lendemain, le paturage en foret devint un crime, et menaca de miner le mode de vie de la population indigène. Après ces délimitations, la seule alternative viable pour les populations résidant clans la localité, plus particulièrement les Masaai, était de prendre en charge eux-mêmes la gestion de la foret. Une fois cela compris et accepté, les choses ont évolué rapidement. Des comitésde gestion de la foret ont été créés, des zones destinées à l'usage local tracées dans la foret, des règles pour l'exploitation établies et un système de patrouilles mis sur pied. Aucune étude couteuse n'a été effectuée, pas plus que des inventaires, mais un simple plan participatif bien pensé sur les facons de protéger et de développer la foret, dont le suivi devait etre assuré par l'agent forestier du District avec une facilitation sporadique extérieure. La vraie gestion a alors commencé. Tout semblait prometteur. Quelque temps après, malheureusement, les Masaai commencèrent à relacher l'attention et les patrouilles fréquentes diminuèrent. Les fonds collectés par l'imposition d'amendes dans les villages prirent fin. Quelques dirigeants de villages, corrompus, permirent aux intrus à la recherche de terres de cultiver dans la foret. Les envahisseurs vinrent de loin et de partout, souvent armés de fusils. Les Masaai restèrent presque sans assistance. Dans un court laps detemps, plus de 100 fermiers avaient pris possession des terres dans la foret. Il a fallu beaucoup de temps au gouvernement pour se rendre compte de l'ampleur de la situation. Mais une fois mise en vigueur, la loi suivit son cours. Avec l'appui de l'administration du District, une opération de nettoyage fut montée, et ceux qui s'étaient emparés des terres furent éjectés de la foret. Les lois régissant le village telles qu'identifiées par les villageois eux-memes furent de mise. Aujourd'hui on peut tirer les lecons suivantes: la mise sur pied d'une gestion forestière communautaire est une chose, en assurer la maintenance en est une autre, ce qui montre qu'il s'agit d'un processus typique de développement, résolvant les problèmes au fur et a mesure qu'ils surgissent; des systèmes adéquats de rapport, de controle et de suivi doivent etre mis en place; la transparence doit etre de mise dans les villages; nous devons accepter des échecs car chaque village ne pourra réussir immédiatement; toute question se réfère à la terre et au droit à la terre. Un accent particulier doit être orienté sur la compréhension de la nouvelle législation des terres du village. Les groupes vulnérables en particulier, doivent être tenus au courant de leurs droits légaux et humains en ce qui conceerne les terres. Une gestion forestière durable et une participation de la communauté à la gestion des ressources naturelles jouit d'un fort soutien politique en Tanzanie. Cependant, elle n'est pas encore appuyée par un mécanisme institutionnel assez fort pour garantir son application au niveau national. La capacité de coordonner et de promouvoir les activités clans ce secteur reste toujours faible.
机译:这项研究描述Suleclo的林业村如何被创造八年前,这可以从当前场中汲取的教训,全部由当地居民为了自己的利益进行管理,以极大的成功Etsans。培训费用。该Suleclo森林,包括在Kiteto,(阿鲁沙区),坦桑尼亚区村庄九个森林保护区,由社区和具有成本效益和廉价的方式自1994年以来,森林广阔,丰富的木种米欧埔操作,这为绿色锁本机masaai人口的一百年没有森林的任何威胁。 1994年,政府的森林管理人员从阿鲁沙到来,追踪在森林分界线,实行中央财政森林保护区。从日夜间,在森林中锁定成为了罪,Menaca破坏当地居民的生活方式。这些划界后,居住在当地,尤其是Masaai人口的唯一可行的选择,是为了照顾自己的森林管理。一旦这种理解和接受,事情已经迅速发展。森林管理委员会已经建立,在森林本地使用,建立操作规则和巡更系统设置的区域。无成本的研究已经取得了,也没有库存,但一个简单的参与计划周详的保护和发展森林,其后续应该由区森林代理偶发性便利提供户外的方式。真正的管理,然后启动。一切似乎都看好。一段时间后,不幸的是,Masaai开始释放攻击和频繁的巡逻减少。通过处以罚款的村庄收集的资金终于完成。一些村干部,寻找土地腐败,使入侵者在森林生长。侵略者从远处来和无处不在,经常与步枪。 Masaai几乎保持不援助。在很短的圈,100名多名农民已经占据的土地在森林里。花了很长的时间来政府意识到局势的程度。但是,一旦投入力量,法律遵循它的路线。与之相配套的地方行政,清洁操作攀升,和那些谁占领了土地被从森林弹出。治村为确定自己是把村民的法律。今天,我们可以得出以下教训:建立社区森林管理是一回事,确保维护另一个,这表明它是发展的一个典型的过程中,解决这些问题,因为它们产生;适当的报告,控制和后续系统必须到位;透明度必须放在村;我们必须接受失败,因为每个村不能马上成功;如有任何疑问指的是土地及土地权。特别强调应直接了解新农村土地立法。特别是弱势群体,必须保持其法律和人权方面的土地通报。森林可持续经营和社区参与自然资源管理坐落在坦桑尼亚强有力的政治支持。但是,还没有通过体制机制足够强大的支持,以确保其在国家一级的应用。在这一领域,以协调和促进活动的能力仍然较低。

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