Tout petit déjà, Robert Gendler était plongé dans les livres d'astronomie. Les photos du ciel qu'ils contiennent, produites dans les grands observatoires comme celui du mont Palomar, le fascinaient littéralement. À New York, où il passe son enfance, il se rend régulièrement au Hayden Planétarium. Faute de mieux. Car au milieu de l'immense métropole, l'éclat des étoiles reste irrémédiablement masqué par un intense éclairage public.
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