C'est un incroyable raté à 10 millions d'euros que subit Naval Energies, la filiale énergies renouvelables du premier constructeur européen de navires militaires, Naval Group (ex-DCNS) : l'usine de Cherbourg (Manche) a fermé ses portes un mois à peine après son inauguration sans produire une seule hydrolienne. Raison officielle ? La chute brutale du prix des énergies éoliennes et solaires. Alors que ces filières proposent aujourd'hui des tarifs entre 50 et 60 euros du mégawat-theure (MWh) - environ trois fois moins qu'en 2010 -, l'hy-drolien culmine à 150 euros.
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