Bovie Structure: its evolution and regional context

摘要

Bovie Structure, which marks the eastern limit of Upper Cretaceous strata in the Liard Basin, is interpreted from seismic and well data to be a product of two major stages of development: the first, crustal uplift and compression during the late-Carboniferous to early Permian; the second, horizontal convergence during the Laramide Orogeny, North of Trout Lake Fault zone the second phase involved a shallow decollement fault whereas south of Trout Lake Fault zone, Laramide stresses may have caused transpressional movement on the crustal scale fault and development of a 'flower' structure. Bovie Fault, which has long been considered to be extensional, is here interpreted to be convergent and a product of the earlier uplift. The structure is here divided into three zones—northern and central zones, which lie north of Trout Lake Fault zone, and a southern zone. The central zone, where Bovie Structure is most fully developed, contains Bovie anticline, which is seen at surface as a chain of three N-S striking ridges. This anticline is interpreted to consist of blocks of Carboniferous strata that first have been uplifted on a west-directed, steeply-dipping, crustal-scale thrust fault. Then, during the Laramide Orogeny, blocks of these Carboniferous strata were severed and carried eastward on the shallow detachment of the Bovie Lake Thrust. Bovie Fault rapidly diminishes northward across the northern zone until the remaining basement strain is transferred eastward to a second, smaller en echelon fault. In this zone, strata are interpreted to have responded to uplift of the eastern block with a combination of faulting and monoclinal folding. There is no evidence of a shallow Bovie Lake Thrust detachment in the northern zone. Southward, Bovie Structure turns abruptly southwest across the Trout Lake Fault zone, and the west-directed deep fault steps eastward in an en echelon manner.%Le structure de Bovie, qui marque la limite est de la strate du Crétacé supérieur dans le bassin de Liard est interprétée, à partir de données sismiques et de forages, comme étant le produit de deux étapes majeures de développement: la première, consiste en une ascendance crustale et une compression durant le Carbonifère tardif au Permien précoce; la seconde, en une convergence horizontale durant l'Orogénie Laramienne. Au nord de la zone de faille du Lac Trout (TLFz), la seconde phase a impliqué le décollement superficiel de la faille, alors qu'au sud de TLFz, des contraintes laramiennes peuvent avoir causé un mouvement de transpression sur la faille à l'échelle de la faille croûte et le développement d'une structure en forme de fleur. La faille de Bovie, qui a longtemps été considérée comme étant extensionnelle, est interprétée ici comme étant convergente et le résultat d'une ascendance plus précoce. La structure est divisée ici en trois zones—une au nord et une au centre, situées au nord de TLFz, et une zone au sud. La zone centrale, où la structure de Bovie est complètement développée, contient l'anticlinal de Bovie, qui est visible en surface comme une chaîne de trois crêtes orientées N-S. Cet anticlinal est interprété comme étant composé de blocs de strates du Carbonifère qui ont d'abord été soulevés en faille de chevauchement à l'échelle de la croûte, et inclinés en pente raide vers l'ouest. Ensuite, durant l'Orogénie Laramienne, les blocs de ces strates carbonifères ont cédé et se sont déplacés en direction est sur le décollement superficiel du chevauchement du Lac de Bovie. La faille de Bovie diminue rapidement vers le nord à travers la zone orientée du côté nord jusqu'à ce que la déformation restante du socle soit transférée vers l'est sur une seconde faille d'échelon plus petite.